Activité libérale

activite-liberale Je reçois dans mon cabinet tous les âges de la vie (de l’enfant à l’adulte), chacun présentant une situation spécifique :

  • des difficultés à l’école (agitation ou problèmes d’apprentissage)
  • des problèmes de comportement (à l’école ou au sein de la famille)
  • un retard d’apprentissage lié à une difficulté d’ordre « dys » (dyspraxie, TDAH…)
  • un sentiment de troubles de la mémoire et/ou de l’attention (e.g., le sentiment de ne pas se souvenir)
  • des problèmes dans sa vie de couple, sa relation avec les autres
  • une période difficile sur son lieu de travail,
  • un stress important générant une angoisse plus ou moins envahissante
  • la confrontation à la maladie (la sienne comme celle d’un proche)

Ma réponse à chaque demande est très spécifique pouvant aller du bilan neuropsychologique à l’accompagnement clinique dans une relation d’aide et de soutien.

Choisir son psychologue

Choisir un psychologue c’est avant tout un temps de rencontre : on se sent à l’aise ou non, le contact passe ou non. Il faut pouvoir se sentir libre chez son « psy » : libre de dire, de penser, de se souvenir, de faire état de ses difficultés… libre de partir lorsque l’on a le sentiment d’être allé au bout de la démarche.

« Avoir rendez vous avec son psy » peut évoquer plusieurs réalités différentes correspondant à des professionnels différents. Il faut savoir qu’à l’heure actuelle deux professions sont officiellement reconnues par la DDASS et font l’objet d’études universitaires poussées : les psychologues et les psychiatres.

  • le psychologue : titulaire d’un master 2 mention psychologie, a suivi un cursus de 5 années ainsi qu’un nombre d’heures de stage conséquent. Le psychologue est formé aux méthodes de recherche aussi bien qu’à l’accompagnement clinique. Certaines spécialisations, comme la neuropsychologie, permettent au psychologue d’avoir un regard plus averti sur les difficultés cognitives et les propositions de stimulation envisageables (il en est de même dans son champ d’application de la psychanalyse). Enfin, rien n’empêche un psychologue de prolonger ses études en vue de l’obtention d’un doctorat qui lui offrira la possibilité d’approfondir ses connaissances théoriques de manière très pointue et rigoureuse.
  • le psychiatre : médecin spécialiste en troubles psychiatriques. Il peut donc prescrire un traitement (anxyolitique, antidépresseur, psychotrope…) mais également assurer un accompagnement clinique lors d’entretiens à visée thérapeutique.

Il existe enfin un grand nombre de professionnels exerçant sous le titre de « psychothérapeute ». Bien que ce titre ait fait l’objet d’un texte de loi voté en 2004 et de deux décrets d’application dont le dernier en 2012, il est encore possible de rencontrer des psychothérapeutes n’ayant jamais suivi 1h d’enseignement en psychologie. De fait, l’ensemble des psychiatres et psychologues sont psychothérapeutes mais la loi ayant permis aux psychothérapeutes exerçant depuis au moins 5 années de conserver leur titre, le titre de psychothérapeute seul ne peut garantir la formation du professionnel en question.